Le PIM et le DAM sont devenus en quelques années les deux composantes structurantes des projets de e-commerce.
Le premier prend en charge la constitution des données produits, leur uniformisation et leur diffusion omnicanale. Le second est responsable de la gestion des médias (photos produits, vidéos, vues 360°…), et plus globalement des fichiers (notices, informations techniques, etc.).
Les tentatives de n’utiliser qu’un seul outil pour gérer à la fois les données et les médias ont, pour la plupart, échoué. C’est au contraire une intégration forte entre ces deux outils qui a permis aux retailers de bénéficier du meilleur des deux mondes.
L’explosion des ventes e-commerce que nous connaissons ces dernières années bouleverse toute la chaîne de collecte des données produits. L’enjeu est désormais d’être en capacité de diffuser, le plus rapidement possible, des informations fiables vers tous les canaux de distribution digitaux. Le time-to-market des produits est clairement au coeur des préoccupations. De nombreux projets sont lancés par les industriels et les distributeurs pour rationaliser la collecte et la diffusion de ces informations produits. On parle de PDM (Product Data Management), de MDM (Master Data Management), de PIM (Product Information Management) et de DAM (Digital Asset Management) à tous les étages des DSI.
Derrière chacun de ces acronymes se cache une expertise propre et souvent un nouveau logiciel à mettre en place.
Les architectes des systèmes d’information se demandent, avec raison, s’il n’est pas possible de mutualiser les plateformes pour de pas multiplier les projets, les logiciels et les coûts.
Selon les points de vus dictés par les besoins des différents métiers concernés (produit, qualité, marketing, juridique, opérations, fabrication), cela peut donner lieu à des échanges très animés sur les choix de la plateforme fédératrice.
En particulier, de nombreux débats opposent les défenseurs du DAM et les promoteurs du PIM avec, en trame de fond, l’idée qu’il ne peut en rester qu’un.
Alors, qui a raison ?
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Les tentatives de n’utiliser qu’un seul outil pour gérer à la fois les données et les médias ont, pour la plupart, échoué. C’est au contraire une intégration forte entre ces deux outils qui a permis aux retailers de bénéficier du meilleur des deux mondes.
L’explosion des ventes e-commerce que nous connaissons ces dernières années bouleverse toute la chaîne de collecte des données produits. L’enjeu est désormais d’être en capacité de diffuser, le plus rapidement possible, des informations fiables vers tous les canaux de distribution digitaux. Le time-to-market des produits est clairement au coeur des préoccupations. De nombreux projets sont lancés par les industriels et les distributeurs pour rationaliser la collecte et la diffusion de ces informations produits. On parle de PDM (Product Data Management), de MDM (Master Data Management), de PIM (Product Information Management) et de DAM (Digital Asset Management) à tous les étages des DSI.
Derrière chacun de ces acronymes se cache une expertise propre et souvent un nouveau logiciel à mettre en place.
Les architectes des systèmes d’information se demandent, avec raison, s’il n’est pas possible de mutualiser les plateformes pour de pas multiplier les projets, les logiciels et les coûts.
Selon les points de vus dictés par les besoins des différents métiers concernés (produit, qualité, marketing, juridique, opérations, fabrication), cela peut donner lieu à des échanges très animés sur les choix de la plateforme fédératrice.
En particulier, de nombreux débats opposent les défenseurs du DAM et les promoteurs du PIM avec, en trame de fond, l’idée qu’il ne peut en rester qu’un.
Alors, qui a raison ?