EDF unifie et accélère sa communication grâce au Media Center Keepeek

EDF accélère sa communication grâce au Media Center Keepeek

EDF a présenté la refonte de son Media Center lors du salon OnDAM 2025. L’enjeu est clair : renforcer la centralisation des contenus de marque et mettre les usages au centre du dispositif DAM de Keepeek. La plateforme s’ouvre à toutes les équipes qui produisent, recherchent, indexent ou diffusent des médias. Le résultat : une expérience plus simple, plus collaborative et mieux alignée avec les objectifs de communication du groupe.

La démarche repose sur un constat : l’outil historique fonctionnait mais son potentiel était sous-exploité. EDF a donc choisi de lancer une “saison 2” du projet avec Keepeek, après un appel d’offres rigoureux. L’accent est mis sur la sobriété numérique, la collaboration et la mesure de l’adoption.

Un groupe de très grande ampleur, un besoin d’unification

EDF est l’un leaders mondiaux de la production d’électricité décarbonée. En 2024, le groupe a produit plus de 520 TWh dont 94% décarbonés. Il sert environ 41 millions de clients et emploie quelques 191 000 collaborateurs dans le monde. Ces ordres de grandeur expliquent l’ampleur du défi : organiser, sécuriser et valoriser des volumes massifs de médias pour des usages très variés.

Le Media Center ne concerne pas uniquement la filière communication. Des métiers techniques s’y connectent aussi. Environ 10 000 visiteurs y accèdent. Dans un tel contexte, la centralisation des contenus de marque n’est pas un luxe. C’est un levier de cohérence et d’efficacité. Sans centralisation, chaque entité garde pour elle photos, vidéos ou guidelines. Les doublons se multiplient. La recherche devient pénible. La réutilisation chute. Et la cohérence de marque se dilue.

L’objectif de la refonte est donc de réunir Brand Center et Media Center mais aussi de repenser la contribution. Le tout en s’appuyant sur une gouvernance claire et sur des indicateurs concrets d’adoption.

Pourquoi une “saison 2” du DAM ?

Le retour d’expérience sur la “saison 1” a été franc : l’outil était apprécié et les équipes l’utilisaient. Pourtant, une partie de la valeur restait dormante. Certaines fonctionnalités n’étaient pas connues. Les bonnes pratiques d’indexation n’étaient pas toujours suivies. Et de nombreux médias restaient dispersés dans des silos. « Le Media Center était un outil très apprécié. Les gens étaient fans de l’outil mais on s’est rendu compte qu’il était sous-utilisé » explique Valérie Bruandet, Cheffe de Projet Audiovisuel chez EDF.

Ce constat a servi de point de départ à la refonte. Malgré une base solide, une partie de la valeur restait en sommeil. Le projet de saison 2 avait donc un objectif clair : repenser l’écosystème pour l’adapter aux usages réels, améliorer la collaboration et renforcer la centralisation des contenus de marque.

EDF a alors fixé trois objectifs précis : d’abord unifier, ensuite collaborer et enfin mesurer et améliorer. Ces trois piliers guident l’ensemble du projet. Ils structurent les décisions techniques, documentaires et organisationnelles.

Unifier : un écosystème commun, un accès simplifié

En évoquant l’unification, Valérie résume l’ambition : « nous voulions un media center innovant et centré sur les usages ». Unifier signifie rassembler le Media Center, le Brand Center et l’espace de contribution dans un environnement cohérent. L’appel d’offres a été mené à l’échelle du groupe, avec les filiales, dont Enedis. L’intégration du SSO (Single Sign-On) élimine les frictions d’accès comme le souligne Valérie : « le raccord au SSO était extrêmement important pour faciliter l’accès au Media Center ». L’utilisateur se connecte avec ses identifiants habituels, il n’a plus à multiplier les comptes. Cette unification technique élimine une grande partie des frictions et améliore l’adoption.

Le projet s’accompagne d’une réflexion sur les interfaces. EDF conserve l’URL historique. Une page “boussole” oriente vers la Media Gallery - pour les contenus audiovisuels - et vers le Brand Center - pour les éléments d’identité de marque. La continuité d’usage rassure. Le changement devient progressif. On ne perd pas les utilisateurs en route.

Unifier, c’est aussi aligner les droits. Chaque profil accède à ce qui le concerne. L’interface devient spécifique selon les périmètres. Les équipes voient des actions simples, nommées en langage courant. On parle d’usages, pas de paramètres techniques.

Collaborer : partager mieux, transférer moins

Le second pilier est la collaboration. EDF veut réduire les transferts de fichiers lourds ; la question de la sobriété numérique a été un vrai moteur selon Valérie : « non aux transferts de médias, non à WeTransfer, non à EDF Transfer. Oui aux liens de partage ». La plateforme devient un logiciel collaboratif dédié aux médias. On travaille à plusieurs dans des paniers. On commente. On itère. On évite les doublons. On diffuse des formats optimisés pour la consultation et pour la sobriété.

Cette évolution touche la culture des équipes. Au lieu de garder ses ressources localement, on les partage, on alimente le fonds commun, on documente correctement et on facilite la réutilisation. Le gain est immédiat : moins de temps perdu à chercher la “bonne version”, moins de ressaisies et moins de risques juridiques.

Mesurer et améliorer : des KPIs pour piloter la valeur

Le troisième pilier est la mesure. EDF suit des KPIs pour comprendre l’adoption du DAM Keepeek : 

  • Adhésion : connexions actives, récurrence, création et usage de paniers ;
  • Qualité : complétude des métadonnées, taux de médias avec droits validés ;
  • Impact : téléchargements, partages, réutilisations inter-entités.

Ces indicateurs guident des actions très concrètes : améliorer une page, simplifier une fiche, renforcer une formation ou encore ajuster une permission. La logique est itérative. On observe, on corrige et on confirme. La plateforme vit au rythme des usages.

Une méthode par étapes : cadrage, appel d’offres, build, adoption

La refonte a suivi une méthode simple mais disciplinée. D’abord, une longue phase de cadrage. De novembre 2023 à mai 2024, EDF a travaillé avec une agence de stratégie digitale, avec une approche sociologique des usages. Des interviews ont révélé les besoins, habitudes, irritants et biais. L’équipe a rédigé un cahier des charges centré sur les usages, pas sur la liste de fonctionnalités.

Puis, un appel d’offres de 10 mois, de juin 2024 à mars 2025. Keepeek a été retenu. La saison 2 pouvait démarrer. Vient alors la phase de "build". L’équipe avance par cycles courts : démonstrations régulières et décisions rapides. On évite l’effet tunnel. La construction reste lisible pour tous.

Enfin, la conduite du changement avec un teasing, des interventions en comités éditoriaux, des webinaires, des tutoriels et des guides. Le message est clair : la centralisation des contenus de marque apporte des bénéfices immédiats aux métiers. Pas de buzzwords mais des usages concrets.

Le rôle des équipes Keepeek : proximité et réactivité

La réussite du projet s’appuie également sur l’organisation mise en place par Keepeek. Lors de la conférence, Henry-Joël Mananga, Account Manager chez Keepeek, a d’ailleurs résumé cette dynamique en un mot : proximité. Pour Valérie Bruandet, cette proximité ne se limite pas à un mode de travail agréable : « nous avons des weekly mais au final, on se parle beaucoup plus ».

Côté Keepeek, l’organisation est dédiée. Une cheffe de projet coordonne le planning, anime les échanges et arbitre les sujets. Les équipes techniques développent, intègrent et testent. L’équipe documentaire conçoit le plan de classement, les fiches de notice et les référentiels. Le Customer Success Premium opère le support au quotidien. Cette proximité permet de corriger vite., capitaliser et avancer.

C’est cette collaboration rapprochée qui a permis de construire un Media Center centré sur les usages et pas seulement sur la technologie.

Le mode de travail est agile. Les cycles sont courts. Les démonstrations jalonnent l’avancement. Les arbitrages restent factuels : chaque décision répond à un usage identifié. Pas d’empilement de modules “au cas où”. On préfère un périmètre utile, solide et évolutif.

Repenser la Media Gallery : personnalisation et clarté

La Media Gallery change de posture. Elle ne montre plus une page impersonnelle avec des images thématiques peu utiles. L’interface s’adapte à chaque profil. Les entrées sont orientées action : “je dépose une vidéo” ou “j’accède aux médias de mon entité”. Le widget thématique affiche des libellés clairs. L’utilisateur comprend tout de suite où aller. Le temps de prise en main baisse. La recherche devient plus précise et les résultats sont pertinents.

Ce choix découle du retour d’expérience. Les vignettes de thématiques n’aidaient pas. Les utilisateurs voulaient des chemins textuels. C’est plus direct et plus rapide. La centralisation des contenus de marque se manifeste ici par une porte d’entrée mieux signalée, plus rationnelle et plus proche du langage des équipes.

Éditorialiser le Brand Center : du PDF figé aux pages vivantes

Le Brand Center abandonne la logique du PDF statique. Chaque thématique a sa page. Logos, pictogrammes, grilles de composition, règles d’usage… On comprend, on télécharge et on applique. Les médias restent liés au DAM. La mise à jour d’un média se répercute partout. La cohérence de marque se renforce. Le déploiement de marque gagne en vitesse et en fiabilité. Valérie Bruandet souligne la différence avec la première version : « l’appropriation de tous les éléments de la marque va être facilitée grâce à cette éditorialisation ».


Cette évolution ne concerne pas seulement la mise en page. Elle modifie la manière dont les équipes accèdent aux éléments de marque : plus besoin d’ouvrir une charte PDF volumineuse pour trouver un logo ou une règle d’usage. Grâce à la synchronisation directe avec le DAM, toute mise à jour d’un média se répercute immédiatement sur les pages du Brand Center. Cette fluidité renforce le déploiement de la marque et garantit sa cohérence à l’échelle du groupe.

Un espace de contribution modernisé

L’interface de contribution a été revue. Plus moderne, plus claire et plus proche des autres modules Keepeek. On y retrouve les fondamentaux : chercher, sélectionner, ajouter à des collections et partager. L’ergonomie limite le besoin de formation. Le passage à l’acte est plus rapide. Les droits sont définis finement. On invite des partenaires externes de façon sécurisée. La plateforme reste le point d’échange, pas la boîte mail.

Pour Valérie, cette modernisation est essentielle pour favoriser la contribution et limiter les pratiques dispersées : « nous misons énormément sur les liens de partage. Ça simplifie le travail et réduit notre empreinte carbone ».

Grâce à cette interface modernisée, les équipes contribuent plus facilement, collaborent à distance et déposent leurs contenus sans devoir manipuler des outils externes ou procéder à des transferts lourds. Cette évolution soutient une ambition simple : comment gérer efficacement ses médias quand on contribue ponctuellement ? En réduisant le nombre d’étapes, en parlant le langage des équipes et en outillant des workflows clairs pour la validation et l’indexation.

Une gouvernance qui favorise la mutualisation

La métaphore est parlante : la Media Gallery du groupe est un grand immeuble. À l’intérieur, des “appartements” pour les entités. Chaque entité garde son autonomie. Elle indexe, elle classe et elle publie. Mais tout appartient au même immeuble. Les médias circulent mieux entre le national et le local. On évite de refaire des prises de vue déjà réalisées. On valorise l’existant. Valérie résume parfaitement la vision de gouvernance : « nous ne voulons plus que les gens conservent leurs médias bien chez eux. Nous voulons que tout soit foisonné ». Cette philosophie structure le fonctionnement du DAM. Elle permet d’éviter les doublons de production et d’encourager le partage entre entités.

La gouvernance s’appuie sur des règles communes. Des comités éditoriaux animent la vie du fonds. Des routines de nettoyage retirent les contenus obsolètes. Les droits sont gérés finement. Les profils d’accès sont clairs. Les usages mesurés. Cette mécanique rend la centralisation des contenus de marque tangible au quotidien. Ce n’est pas un slogan, c’est un modèle d’organisation.

L’expertise documentaire : socle de qualité

L’équipe documentaire Keepeek joue un rôle clé. Elle gère le flux entrant, elle sélectionne les médias et elle indexe. Elle ajoute également les informations juridiques, rattache les autorisations de droits à l’image et garantit la conformité. Chaque média mis en ligne est propre, compréhensible et réutilisable. La recherche devient efficace. Les équipes trouvent vite. Elles réutilisent mieux et évitent les risques.

Clarisse Gourier, Documentaliste chez Keepeek explique la logique documentaire et Valérie complète : « l’appropriation de tous les éléments de la marque va être facilitée grâce à cette éditorialisation ». Le Brand Center devient un espace vivant, mis à jour automatiquement, loin des PDF statiques.

Valérie décrit la collaboration avec l’équipe documentaire Keepeek comme étant très étroite : « Clarisse est capable de finir mes phrases », plaisante-t-elle. Elle ajoute : « nous échangeons quasiment au quotidien ».

Enfin, Valéreie rappelle l’importance des volumes : « nous avons une base d’environ 100 000 avec 20 000 publiés en permanence ». Cette charge nécessite une prestation documentaire soutenue, entre 6 et 10 jours par mois. Cette régularité évite la dérive documentaire. Le fonds reste vivant. Les pages éditorialisées du Brand Center se mettent à jour. Les thématiques de la Media Gallery restent pertinentes.

Focus : le multistatut, un gain de maîtrise

Le multistatut change la vie des équipes. Un média peut être esthétiquement impeccable. Mais juridiquement KO. Le statut le signale. On sait ce qu’on peut utiliser. Et ce qu’on ne peut pas. L’ambiguïté disparaît. Le processus de publication devient plus sûr. Les équipes gagnent en autonomie. Elles réduisent les allers-retours avec le juridique. Elles gèrent efficacement leurs médias.

Sur la qualité, Valérie se montre explicite : « je suis extrêmement insistante mais c’est là que se situent les recherches fructueuses ». Quand elle évoque la conformité juridique : « un média peut être esthétiquement OK. En revanche, juridiquement, s’il manque les autorisations, il est KO ». Le multistatut apporte ainsi une transparence essentielle aux équipes.

Ce choix technique répond à un besoin métier. EDF produit et reçoit de nombreux contenus : reportages, portraits, vues de sites, vidéos pédagogiques, podcasts. Les situations de droit à l’image varient. Le multistatut apporte une réponse simple à un sujet complexe.

Focus : personnalisation de la page d’accueil Media Gallery

Chaque collaborateur voit désormais ses espaces et ses actions prioritaires. La page d’accueil n’est plus la même pour tous. Les libellés sont formulés à la première personne. Le message est direct. La prise d’initiative est encouragée. Ce détail change l’appropriation. L’utilisateur voit tout de suite ce qu’il peut faire. Il le fait. Résultat : un meilleur taux d’usage réel. Pas seulement un taux de connexion.

En présentant la nouvelle Media Gallery, Valérie décrit une interface pensée pour être immédiatement compréhensible : « nous avons travaillé la formulation des usages. On ne parle pas d’outil, on parle comme si on était un utilisateur ». Cette approche réduit les barrières d’entrée et encourage l’utilisation régulière du DAM.

Conduite du changement : de l’envie avant la maîtrise

EDF a soigné la conduite du changement. Des teasings courts. Des messages clairs. Des démonstrations en comités éditoriaux. Des tutos concis. Le vocabulaire reste simple. Le discours parle d’usages. Pas de paramètres. Cette approche réduit la résistance. Elle crée l’envie. Quand l’envie est là, la maîtrise suit. Les webinaires ancrent les gestes clés. Les guides fixent le cadre. La plateforme s’installe dans les routines.

Le rôle du DAM Manager

La gouvernance s’appuie sur un rôle clé : le DAM Manager. Côté EDF, ce rôle est endossé par Valérie Bruandet. Elle coordonne l’écosystème, anime les comités, suit les KPI, priorise les demandes et arbitre les évolutions. Le DAM Manager porte la vision : comment gérer efficacement ses médias dans un groupe étendu. Il organise l’alignement entre les entités et le national. Il relie gouvernance documentaire, design d’interface et pilotage technique :
« c’est un facteur de réussite quasiment essentiel » précise Valérie.

Sur son propre rôle, elle explique : « globalement, le Media Center m’occupe entre 50% et 90% de mon temps selon les phases », jusqu’à 90 % en build, autour de 50–60 % en run. Ce cadrage explicite montre que le DAM n’est pas “juste un outil”. C’est un dispositif à piloter. La centralisation des contenus de marque a un coût d’organisation. Mais le retour sur investissement se voit dans la cohérence, le temps gagné, la réduction des risques.

Qualité des métadonnées : ce qui fait tout basculer

Tout projet DAM échoue si la donnée est pauvre. EDF et Keepeek ont donc priorisé la qualité documentaire. Les ateliers ont défini la taxonomie et les fiches de notice ont été différenciées selon les médias. Pas de fiche unique pour tout. Une vidéo n’a pas les mêmes champs qu’un logo. Un portrait n’a pas les mêmes enjeux qu’un paysage industriel. Cette granularité évite les champs inutiles. Elle concentre l’effort sur l’essentiel.

La réception des métadonnées en provenance des photographes a aussi été travaillée. On récupère ce qui existe. On complète ce qui manque. On s’assure que les informations juridiques sont présentes. On rattache les autorisations de droits à l’image. Le résultat se voit dans la recherche. Les équipes trouvent, elles réutilisent sans crainte, partagent et avancent efficacement.

Toutefois, Valrie souligne que la qualité des métadonnées ne dépend pas uniquement de l’interface : elle repose sur une collaboration étroite entre les équipes EDF et l’équipe documentaire Keepeek. Cette dernière assure le traitement du flux entrant, l’enrichissement juridique et la structuration des fiches. Valérie résume la charge de travail nécessaire pour maintenir ce niveau d’exigence : « pour vous donner un ordre de grandeur, cela représente entre 6 et 10 jours de prestations documentaires par mois ».

Cette rigueur continue garantit que les utilisateurs trouvent ce qu’ils cherchent, réutilisent les médias en toute confiance et évitent les risques juridiques liés aux mauvaises exploitations.

Étendre la valeur : éditorialiser, animer, relier

La valeur d’un DAM ne se résume pas aux fiches. Elle se joue aussi dans l’animation des contenus. EDF participe à des comités éditoriaux. Les pages du Brand Center mettent en avant les ressources clés. Les thèmes chauds sont visibles. Les équipes savent où aller. Les campagnes trouvent plus vite leurs contenus. La centralisation des contenus de marque devient une évidence. On gagne en cohérence visuelle et en rapidité d’exécution.

La Media Gallery, elle, se nourrit du terrain. Les reportages affluent. Les formats sont optimisés pour les usages. Les profils externes sont gérés finement. Les échanges sont sécurisés. Les retours métier enrichissent le paramétrage. L’outil suit la vie des contenus. Pas l’inverse.

Inspirations et méthode

Le cas EDF s’inscrit dans une dynamique plus large : valoriser un patrimoine média hétérogène, tout en accélérant la production. Pour voir comment une autre organisation articule ce défi, découvrez l’exemple Colas et sa démarche.

Et pour cadrer un projet dès l’amont, ce guide vous aide à choisir une solution adaptée et à poser la bonne méthode.

Ces ressources prolongent la logique présentée ici. Elles éclairent la question centrale : comment gérer efficacement ses médias quand les équipes sont multiples, les usages variés et les objectifs élevés.

La refonte du Media Center EDF montre ce que produit une centralisation des contenus de marque bien conduite. Un accès unique. Des interfaces orientées usages. Un Brand Center éditorialisé. Une Media Gallery personnalisée. Un espace de contribution modernisé. Une gouvernance claire. Des KPI actionnables. Et, surtout, une qualité documentaire tenue dans le temps. L’ensemble forme un logiciel collaboratif pour les médias qui soutient la production, sécurise la diffusion et accélère le déploiement de marque à l’échelle du groupe.

Ce projet rappelle une évidence : la technologie seule ne suffit pas. Il faut des rôles clairs, des routines solides, une écoute constante des usages et la volonté de corriger vite. C’est ainsi que l’on bâtit, pas à pas, une plateforme où chacun trouve son compte et où la marque gagne en cohérence, en vitesse et en impact. Et c’est ainsi que l’on répond, très concrètement, à la question : comment gérer efficacement ses médias dans un grand groupe.

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